Le salon Bien-être & médecine douce ouvrait ses portes le vendredi 28 janvier à Lyon-Eurexpo après un an d’absence. Méditation, yoga, sophrologie… Les médecines douces sont entrées dans les mœurs d’une société qui n’a jamais autant eu besoin de cultiver son bien-être. En effet, on observe une importante croissance du marché depuis la crise sanitaire. Il semblerait que cette dernière ait encouragée de plus en plus de français(ses) à s’intéresser à la médecine alternative. Nous vous expliquons cela dans cette nouvelle revue de presse.
Médecines douces : un remède pour mieux dormir ?
Décrits dès les premiers mois de la crise de la Covid-19, les problèmes de sommeil s’amplifient. Selon l’enquête CoviPrev, réalisée par Santé publique France, en lien avec l’institut BVA, 64% des Français en souffrent. Mais cette crise a mis en évidence bien d’autres maux. L’isolement des confinements précédents a fait des ravages en plongeant les Français(ses) dans des états d’anxiété, dépression, mais aussi en provoquant des tentatives de suicide et du stress post-traumatique…
Les pratiques bien-être se sont alors présentées comme une solution car comme l’indique Monsieur Vadhana Kath, organisateur du salon bien-être et médecine douce de Lyon : « On a plus que jamais besoin de bien-être ». Méditation, sophrologie, naturopathie, kinésithérapie, ostéopathie, homéopathie : beaucoup de moyens et de disciplines permettent de reprendre le contrôle de sa vie et de calmer stress et anxiété.
Des Français(ses) de plus en plus curieux
On constate que l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie, l’hypnose ou la naturopathie intéressent de plus en plus de Français(ses) qui cherchent à en savoir plus sur les moyens de se soigner autrement, en utilisant des remèdes plus naturels et en prenant soin de leur santé.
« Les gens ressentent le besoin de prendre soin d’eux », explique Nadia Hardy, professeur de yoga.
Pour preuve, selon Santé publique France, 86% des Français(ses) auraient une image plutôt positive des médecines alternatives. Près de 8 Français(ses) sur 10 se disent que les médecines douces peuvent être une réponse durable à leurs maux. 56% auraient déjà consulté un spécialiste en médecine douce et 18% ont l’intention de le faire dans les semaines ou les mois à venir.
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