C’est le pourcentage de pères souffrant de baby blues les premiers jours après l’accouchement de leur compagne, révèle une étude menée dans trois maternités de Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Plus précisément, 24 % souffraient d’une forme classique de baby-blues et 17 % d’une forme plus sévère.
Sophie Lupin